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Vaccins,droit de légitime défiance

E-BookEPUBePub WasserzeichenE-Book
224 Seiten
Französisch
Books on Demanderschienen am14.06.20221. Auflage
Il faut que cela se sache ! Nos enfants reçoivent, dès leurs premières semaines de vie, onze vaccins obligatoires qui introduisent dans leur fragile organisme des doses d'aluminium 20 à 30 fois supérieures au seuil toxique fixé par l'OMS. S'y ajoutent des métaux lourds tout aussi impliqués dans la genèse de maladies neurodégénératives et autres affections auto-immunes en augmentation exponentielle. La pharmacovigilance ne s'intéresse pas aux vaccinations dont les dégâts parfois tardifs sont occultés par les fabricants et niés par leurs experts. La Covid aura juste été prétexte à l'injection multiple, sous contrainte et le plus souvent inutile, de produits expérimentaux à des personnes en bonne santé. Quant au pass vaccinal, il sert surtout à écouler les stocks de doses périmées... Ayant effectué des milliers d'immunisations dans sa longue carrière, le Dr Gimbert a eu l'occasion de constater leur possible dangerosité à travers la survenue d'accidents parfois graves. Il livre un témoignage sincère et sans concession, et explique en quoi la défiance à l'égard des nouveaux vaccins lui semble un droit parfaitement légitime, avant de proposer toute une série de mesures immédiates, susceptibles de restaurer la confiance populaire

Jean-Charles Gimbert est médecin. Pendant 40 ans il a exercé la médecine de campagne. Une vocation dans ses rêves d'enfant, un sacerdoce dans sa vie d'adulte. Il a accru ses compétences par l'exercice de certaines spécialités comme la micronutrition, la médecine du sport ou la gériatrie, entre autres. Il est aussi expert en médecine légale et judiciaire, ce qui lui a permis d'accéder à des affaires parfois incroyables. Aujourd'hui il partage son temps de jeune retraité entre des formations médicales qu'il donne aux professionnels de santé dans les hôpitaux, les conférences grand public et sa nouvelle passion de l'écriture. Son premier livre s'intitule "Thyroïde, arrêtons le massacre" et ouvre une collection de "Confidences d'un médecin de terrain". Le tome 2 dans la même collection a pour titre "Vaccins, droit de légitime défiance". Enfin une autre livre, hors collection,"Médecins, maltraitants, et protégés !" paraitra dans une nouvelle version le 16 août 2022 et raconte l'histoire incroyable mais authentique du calvaire subi par une nonagénaire en fin de vie dans un Ehpad par la volonté de deux médecins. Décidément, le toubib, passé du stéthoscope à la plume, n'est pas encore disposé à enfiler ses charentaises.
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Verfügbare Formate
BuchKartoniert, Paperback
EUR10,20
E-BookEPUBePub WasserzeichenE-Book
EUR4,99

Produkt

KlappentextIl faut que cela se sache ! Nos enfants reçoivent, dès leurs premières semaines de vie, onze vaccins obligatoires qui introduisent dans leur fragile organisme des doses d'aluminium 20 à 30 fois supérieures au seuil toxique fixé par l'OMS. S'y ajoutent des métaux lourds tout aussi impliqués dans la genèse de maladies neurodégénératives et autres affections auto-immunes en augmentation exponentielle. La pharmacovigilance ne s'intéresse pas aux vaccinations dont les dégâts parfois tardifs sont occultés par les fabricants et niés par leurs experts. La Covid aura juste été prétexte à l'injection multiple, sous contrainte et le plus souvent inutile, de produits expérimentaux à des personnes en bonne santé. Quant au pass vaccinal, il sert surtout à écouler les stocks de doses périmées... Ayant effectué des milliers d'immunisations dans sa longue carrière, le Dr Gimbert a eu l'occasion de constater leur possible dangerosité à travers la survenue d'accidents parfois graves. Il livre un témoignage sincère et sans concession, et explique en quoi la défiance à l'égard des nouveaux vaccins lui semble un droit parfaitement légitime, avant de proposer toute une série de mesures immédiates, susceptibles de restaurer la confiance populaire

Jean-Charles Gimbert est médecin. Pendant 40 ans il a exercé la médecine de campagne. Une vocation dans ses rêves d'enfant, un sacerdoce dans sa vie d'adulte. Il a accru ses compétences par l'exercice de certaines spécialités comme la micronutrition, la médecine du sport ou la gériatrie, entre autres. Il est aussi expert en médecine légale et judiciaire, ce qui lui a permis d'accéder à des affaires parfois incroyables. Aujourd'hui il partage son temps de jeune retraité entre des formations médicales qu'il donne aux professionnels de santé dans les hôpitaux, les conférences grand public et sa nouvelle passion de l'écriture. Son premier livre s'intitule "Thyroïde, arrêtons le massacre" et ouvre une collection de "Confidences d'un médecin de terrain". Le tome 2 dans la même collection a pour titre "Vaccins, droit de légitime défiance". Enfin une autre livre, hors collection,"Médecins, maltraitants, et protégés !" paraitra dans une nouvelle version le 16 août 2022 et raconte l'histoire incroyable mais authentique du calvaire subi par une nonagénaire en fin de vie dans un Ehpad par la volonté de deux médecins. Décidément, le toubib, passé du stéthoscope à la plume, n'est pas encore disposé à enfiler ses charentaises.
Details
Weitere ISBN/GTIN9782322429561
ProduktartE-Book
EinbandartE-Book
FormatEPUB
Format HinweisePub Wasserzeichen
Erscheinungsjahr2022
Erscheinungsdatum14.06.2022
Auflage1. Auflage
Reihen-Nr.2
Seiten224 Seiten
SpracheFranzösisch
Artikel-Nr.9559209
Rubriken
Genre9200

Inhalt/Kritik

Leseprobe

Ce que les médecins n'osent pas dire

Que les choses soient claires ! Je n'en suis pas forcément fier, mais en un demi-siècle de médecine de terrain, j'ai effectué plusieurs milliers d'injections vaccinales. Y compris chez mes propres enfants et sur mon auguste personne, plus précisément dans ma fesse droite. Peut-être un record national⦠Donc me traiter d'antivax serait aussi absurde et déplacé que de qualifier de philanthropes les fabricants de vaccins, ou de considérer les firmes pharmaceutiques comme des institutions de bienfaisance !

Il faut dire que, comme mes collègues, j'ai été programmé pour l'immunisation de masse dès mon arrivée dans l'école d'endoctrinement hospitalo-universitaire. Cet établissement de formatage à la pensée unique qu'on appelle couramment une faculté. Alors que justement on y perd très vite celle de réfléchir. Pendant leurs études, bien trop sélectives, anormalement longues et foncièrement inadaptées, les neurones des futurs carabins sont tous peignés dans le même sens. Un matraquage intellectuel, propulsé par l'industrie pharmaceutique et relayé par des "experts" dont les liens d'intérêt constituent en pratique la principale source de revenus. Depuis les beaux livres sur les Maladies Infectieuses renfermant des publicités subliminales vantant les mérites des vaccins, jusqu'aux gadgets à deux balles comme des stylos en forme de seringue, tout était bon pour nous enfoncer dans le crâne le piston de la propagande.

Ainsi cuisiné à la sauce Big Pharma, j'ai longuement mijoté dans le culte de la vaccination et l'éloge de ses glorieux pionniers. Surtout nos compatriotes qui firent notre renommée avant de s'expatrier vers des cieux plus propices, où les dollars tombent aussi dru que la pluie sur la région cévenole. Faute d'avoir fait le nécessaire pour retenir ses têtes pensantes, la France, terre de Pasteur, est devenue territoire de Pfizer ! Et rachète au prix fort à l'étranger des produits inventés par ses propres chercheurs exilés.

Ensuite, pendant toute ma carrière, j'ai fait comme les autres. J'ai accueilli quotidiennement dans mon cabinet des visiteurs médicaux m'apportant des petits cadeaux emballés dans des notices médicamenteuses où, bizarrement, n'apparaissait jamais la rubrique Effets indésirables â¦

Jusqu'à mon simulacre de formation continue, puisque les médecins représentent la seule profession de santé qui en soit étrangement dispensée. Celle-ci se déroulait en toute convivialité autour des meilleures tables du département ou, parfois, à l'étranger dans de sympathiques hôtels touristiques. Là, ma participation se limitait à lire attentivement la brochure publicitaire faisant office de menu et à rembourser virtuellement l'addition à mes hôtes en boostant mes prescriptions dans les semaines suivantes.

Si je n'appréciais pas la carotte, je tâtais du bâton. Histoire de me rappeler que nous vivions en démocrature, un hybride de démocratie électorale et de dictature sanitaire. La main de fer dans un gant de velours, seule façon de gouverner les Français d'après Bernadotte. Comme dans tout régime autoritaire qui se respecte, mon activité de vaccinateur était contrôlée par la "SS", à savoir la Sécurité Sociale, et au moindre écart, j'étais sanctionné par les forces de l'Ordre⦠des Médecins.

Alors, pendant toute la première moitié de ma carrière, j'ai filé droit. Et de fil en aiguille, j'ai piqué à tour de bras. Sans état d'âme et avec un zèle quasi-militaire. J'ai tiré sur tout ce qui passait à portée de seringue. Des compatriotes de tous sexes et de toutes couleurs, des bébés et des vieillards, des gros et des minces, des petits et des grands, des riches et des pauvres. Sans jamais me poser la moindre question puisque j'avais été modelé justement pour ne pas m'interroger. J'ai piqué dans la zone anatomique préconisée selon la mode au goût du jour. Dans le haut du dos d'abord, puis le bas de l'épaule chez les adultes. Dans le côté de la fesse des petits bouts de chou et plus tard sur le devant de leur cuisse, histoire de bien les faire hurler. Avec ou sans patch préalable, la seule décision abandonnée au libre choix des parents, vu que, de toutes façons, ça n'avait aucun intérêt.

Avec ma blouse blanche comme uniforme et l'aiguille à la main en guise d'épée, j'ai combattu sur tous les terrains. Dans ma salle de soins bien sûr, mais aussi à domicile, dans les collèges, en entreprise, en maison de retraite, à l'hôpital, dans les vaccinodromes, et même dans des vestiaires sportifs.

J'ai injecté tout ce qui se trouvait dans la rubrique Vaccins de la pharmacopée française et internationale, dès lors que la consigne m'en était intimée. Bien sûr, en premier lieu les vaccinations décrétées comme étant obligatoires sous peine de sanction pour les deux mécréants solidaires, l'infâme non-vacciné en même temps que son complice, l'ignoble non-vaccinateur. Mais aussi celles que nous qualifions autrefois de "facultatives" avant qu'elles ne deviennent "vivement conseillées", puis "fortement recommandées". Et désormais "obligées", ce qui signifie qu'on a parfaitement le droit de s'en dispenser⦠sauf si l'on souhaite un jour inscrire son enfant à l'école, exercer certains métiers ou simplement voyager. Jusqu'au fatidique tour de "pass-pass" vaccinal, cette géniale invention de nos énarques adorés, permettant de rendre un vaccin en réalité obligatoire sans avoir à en assumer sur le plan juridico-financier les potentiels dommages collatéraux dans la population !

Sur demande, j'ai administré le vaccin contre la variole avant qu'on ne préfère le retirer par précaution ; celui contre la tuberculose avant qu'on reconnaisse enfin son inefficacité ; celui administré conjointement contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite avant qu'on organise sa pénurie pour nous fourguer d'autres valences toxiques dans la même seringue ; celui contre la rougeole avant que certains n'évoquent un lien avec l'autisme ; celui contre l'hépatite B avant qu'on le suspecte de provoquer des scléroses en plaques; celui contre le papillomavirus avant qu'on l'incrimine dans des syndromes de Guillain-Barré, ; celui contre la Covid avant que⦠Ah pardon ! Là on ne peut encore rien dire puisqu'il est toujours officiellement en phase d'expérimentation planétaire. Cette fois, on a vraiment touché le fond. Il ne subsiste désormais plus qu'une seule différence entre les cobayes animaux et humains. Les premiers sont sacrifiés sur l'autel de la Science et les seconds sur le coffre-fort des industriels.

J'ai effectué beaucoup plus de vaccins que tous les présumés experts qui engorgent les médias pour prêcher la bonne parole de Big Pharma. Il conviendra peut-être un jour d'appliquer enfin la loi sur la transparence de la vie publique. Je propose que l'on remplace, en bas des écrans de nos télés, le sous-titre "Professeur Machin, chef du service de Bobologie de l'hôpital Trucmuche" par "Professeur Machin, ayant touché depuis 15 ans X milliers d'euros du laboratoire Bidule ou du fabricant de vaccins Untel". Cela permettrait de relativiser quelque peu l'objectivité de leurs propos et la prétendue valeur scientifique de leurs interventions.

Alors comment ai-je pu basculer brutalement dans le camp, beaucoup plus peuplé qu'on ne l'image en haut lieu, des vaccino-sceptiques ? Je raconte dans les pages suivantes l'histoire véridique qui m'a décollé les paupières, désobstrué les conduits auditifs et dorénavant débloqué la langue. Eh oui⦠Un jour j'ai quitté la Planète des Trois Singes sur laquelle je vivais jusqu'à présent. J'ai cessé de respecter à la lettre les consignes supérieures nous ordonnant de "ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire" quand nos patients osaient déclarer un effet indésirable.

Tout a basculé par l'intervention d'un signe du destin. L'ange annonciateur a pris les traits d'un jeune homme tout-à-fait bienportant chez qui, par une belle matinée d'août 1999, j'ai effectué un rappel de la vaccination contre l'hépatite B. Et qui, peu après, a déclenché une sclérose en plaques. Cela a été pour moi un choc révélateur. Tout m'est apparu en pleine lumière⦠L'hypocrisie des fabricants, la lâcheté des gouvernants, la trahison des instances professionnelles, l'insensibilité des juridictions. En un mot, le total désintéressement de l'intelligentsia...
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